dimanche 29 mai 2011

Deux solutions au problème mortel des religions

En quoi les religions sont-elles un problème pour l'humanité ?

Pour de nombreux êtres humains, les religions représentent un danger mortel, puisqu'elles provoquent leur mort tous les jours, directement (par des actes terroristes) ou indirectement (par l'intermédiaire d'états qui sont sous influence ou officiellement inféodés à des religions — In God we trust, est-il ainsi écrit sur les billets de banque de l'état le plus guerrier de la planète).
Poussés par les religions, les états peuvent se livrer à des guerres ou à des pratiques économiques qui nuisent à des populations entières.

Pour certains hommes, l'accumulation forcenée d'argent inutile est devenue la meilleure preuve que leur divinité les favorise, et peu importe ainsi que les autres manquent du minimum vital…
Dans ce beau pays très chrétien qu'était l'Allemagne nazie, on n'imagine pas les persécutions antisémites et le génocide, sans la complicité enthousiaste (ou au moins bienveillante) des églises.

On pourra imaginer qu'Hitler aurait pu attaquer les églises si elles s'étaient montrées hostiles. Mais le plus malin, c'était de les caresser dans le sens du poil…
et à part une poignée d'exceptions, ça a plutôt bien marcher !

Pour complaire au dictateur nazi, les églises n'ont pas hésité à sacrifier les intérêts et les descendants d'un peuple qui, 2000 ans plus tôt, aurait été déicide…
Le meilleur (ou le pire ?), c'est que si les Juifs n'avaient pas (selon les évangiles…) condamné Jésus, celui-ci n'aurait jamais été exécuté par les Romains (qui sont donc les vrais déicides, mais chut !) et il serait mort dans son lit et ne serait jamais devenu le dieu qu'on aime tant…
Autrement dit, Dieu (le Père, essayez de suivre un peu !) a instrumentalisé les Juifs pour leur faire condamner Jésus et que les Écritures s'accomplissent.
Histoire de n'oublier personne, après la défaite nazie, ayons une pensée pour ces villages palestiniens miraculeusement rayés de la carte, pour laisser la place nette à l'État d'Israël, qui, depuis, a su s'attirer la sympathie universelle par son comportement dans la région et montrer que si l'on a de solides appuis, on peut faire fi de toutes les résolutions de l'ONU et s'en trouver très bien…

N'oublions pas non plus ces religions qui considèrent la moitié de l'humanité comme des créatures inférieures, qui les voilent, les mutilent génitalement, les lapident, mais préservent la race porcine en lui interdisant nos assiettes…

Quoique le mépris des femmes soit peut-être la chose la mieux partagée au monde, puisqu'il n'est toujours pas question de curées, de rabbines, ou d'imadames

Pourquoi les religions tuent-elles avec autant de facilité ?

D'une part, toute religion enferme ses membres à l'intérieur d'un groupe d'où le reste de l'humanité est implicitement (ou explicitement) exclu (puisqu'ils mourront comme des animaux ou iront en enfer…).
Au commencement, était la tribu et la croyance religieuse a aidé à cimenter les membres, en excluant les individus extérieurs (tels les yanomanis primitifs qui se considéraient comme les vrais êtres humains, à la différence des autres…).

Au bon vieux temps, les religions ont su s'appuyer sur le pouvoir temporel, lui assurant le droit divin de gouverner, et elles ont coulé des jours heureux, tolérant éventuellement des religions minoritaires, parce qu'elles y avaient intérêt (services bancaires et exutoires au mécontentement populaire à travers des pogroms, par exemple). Chaque pays s'appuyait sur son église et en 1914, les prêtres bénissaient les soldats français, et de l'autre côté du Rhin, les Allemands. Dieu ne pouvait que gagner cette guerre-là…

La laïcité a changé la donne, mais les problèmes mortels posés par les religions s'étalent à longueur de journaux télévisés…
D'autre part, du point de vue religieux, la partie la plus importante d'une vie humaine, ce n'est pas le séjour terrestre, c'est l'autre, l'éternel, le bienheureux, le promis-juré… De là à considérer la vie réelle comme un élément négligeable… Surtout celle des autres…

Donc, toute religion exclut au moins implicitement ses membres de l'humanité, en leur promettant des avantages que les autres ne sauraient obtenir.
La vie des non-membres devient d'autant plus négligeable que leur non-croyance les ravale automatiquement à un rang inférieur.
Peu importe donc qu'ils vivent plus ou moins longtemps, puisqu'ils se privent par leur incroyance du meilleur de l'existence (le paradis).
Si, en plus, la mort des autres peut sembler utile au développement sur terre de notre religion, alors… comment pourrait-on s'en priver ?


De deux choses l'une, ou les religions sont d'aimables réponses à des questions existentielles qui ne reposent sur aucune réalité, mais qui fonctionnent parce qu'elles font plaisir (et qui se perpétuent parce qu'on profite de l'ignorance des enfants pour leur mettre dans le crâne…), ou bien les divinités existent, et donc il devrait être possible de déterminer quelles sont les religions les plus aptes à nous mettre en contact avec ces divinités.

Voici deux solutions pour régler le problème mortel des religions :

La première solution consiste à ce que l'humanité considère officiellement les religions comme un aimable passe-temps, à l'instar de la poésie, du chant choral, des tours de cartes ou du jogging, que l'on peut pratiquer seul (sauf le chant choral) ou en famille sans déranger personne.
On pourrait ainsi remettre à l'honneur les anciennes religions grecques, romaines, étrusques, indiennes, redonner vie aux divinités derrière chaque source, etc.
La religion se pratiquerait aimablement, comme certains adultes jouent aux indiens, pour le fun, sans autres motivations que la distraction dans le respect des autres.
Les inventeurs de religions ont su répondre à notre désir fondamental de grandeur*, de continuité après la mort, mais cela fait-il pour autant des religions une activité réaliste et utile à l'humanité ? Pour autant, par quel miracle devrait-on envisager que toutes les religions se valent, même sur le plan qu'elles prétendent représenter ?

Comment peut-on penser que la religion sous laquelle nous sommes nés est forcément la meilleure du monde ? Pourquoi se priver de changer pour une meilleure religion ?
Si certaines religions sont meilleures que d'autres, pourquoi l'humanité devrait-elle se priver de les connaître et de les pratiquer ?
Parce que les religions, prises au sérieux, sont un facteur de division nuisible à l'humanité mondialisée, on peut aussi proposer de réunir l'humanité autour de la meilleure d'entre elles :

La seconde solution consisterait ainsi à organiser un colloque**, sous l'égide de l'ONU, où l'on déterminerait officiellement, sous le contrôle des plus hautes sommités scientifiques, si les religons sont bénéfiques à l'humanité et, dans l'affirmative, quelle est la meilleure religion humaine pour cinq ans.
Chaque religion participante serait invitée à donner la meilleure preuve que son activité est honnête et sérieuse, en demandant à sa divinité un signe.
Si, par exemple, le pape déclarait que Jésus lui a révélé en songe qu'un météorite allait s'abattre sur l'Everest dans la semaine, sans que personne ne l'ait prévu, et si cela se passait effectivement, le catholicisme pourrait être nommé "religion officielle de l'humanité" pour cinq ans, et les autres prétendants seraient invités à s'entraîner pour le prochain colloque, avec un statut d'associations pleines de bonne volonté…

Tous les débats seraient télédiffusés, sous le contrôle des plus hautes sommités scientifiques, et chacun pourrait se faire une opinion, entre gens de bonne compagnie, qui acceptent volontiers de mettre en compétition leurs systèmes de valeurs.
Évidemment, si le mail secret de l'astronome qui avait prévenu le pape de la chute du météorite, grâce à ses calculs géniaux personnels, venait à être révélé, la tricherie éjecterait le catholicisme du trône et, s'il y avait un second, il deviendrait premier.
S'il n'y avait pas de second, on saurait se passer de religion jusqu'à la fois prochaine et les tricheurs n'en sortiraient évidemment pas grandis… On pourrait les éliminer pour deux tours.
Il appartiendrait à chaque religion de s'organiser pour faire respecter en son sein les décisions prises.
Évidemment, les organisations prétendument religieuses, qui refuseraient de respecter les règles du jeu, seraient considérées mondialement comme des organismes criminels dont les dirigeants seraient passibles du Tribunal Pénal International, comme des criminels internationaux ordinaires, en fonction de leurs seuls actes.

Enfin, si la seconde solution se révélait impossible, on pourrait s'accorder à revenir à la première solution, entre gens de bonne volonté…

Et pourquoi ne s'accorderait-on pas à fabriquer une religion humaine universelle, à la manière de Zamenhof, qui a fabriqué la langue Esperanto, à partir des langues européennes ?


*Sur mon site, j'ai appelé ce désir l'égophilie et je fais le tour de la question.
**Dans un article précédent, j'ai imaginé un championnat plus ludique pour faire le même travail de sélection entre les religions : http://www.agoravox.fr/actualites/religions/article/qui-est-pour-la-liberte-de-94787

mercredi 25 mai 2011

Qui est pour la liberté de religion ?

En principe garantie par la constitution, la liberté de religion donne à chacun le droit de choisir et de changer de religion, en France.

De même que les Français sont libres de parler chinois, s'ils veulent l'apprendre…
De même que les enfants des dirigeants du CAC 40 sont libres de devenir ouvriers, s'ils le veulent…
De même que tout le monde a le droit de jouer et de gagner au loto…
nous sommes libres de choisir notre religion ou d'en changer.

Évidemment, si nous avons subi, durant nos dix-huit premières années de vie, un conditionnement religieux alpha, notre liberté de choisir la religion bêta est un peu altérée (à peine…).

Alors, si l'on voulait vraiment accorder la liberté de religion à tous, il faudrait interdire l'accès des églises, des mosquées et des synagogues aux moins de 18 ans.
Quelle religion serait d'accord pour abandonner les enfants de ses ouailles ?
J'ai profité de mon droit d'endoctriner librement mes enfants pour leur inventer une nouvelle religion sur mesure.

Pour faciliter leur apprentissage, je leur ai évité tout contact avec le monde extérieur, afin qu'ils évitent toute comparaison avec les autres fausses croyances.

Ils ont appris à vénérer le vrai dieu et quand ils mourront, un éclair de lumière sera visible depuis les étoiles… alors que les non-croyants seront frappés par l'Archange Alzheimer et à leur mort, ils se décomposeront dans l'obscurité.
Naturellement, pour faciliter le choix de la religion, on pourrait mettre en place des Jeux Olympiques (du nom de l'Olympe, cette résidence des dieux grecs…), pour que les religions puissent montrer leurs performances.
Cette Interville des religions ne comprendrait pas des vachettes, mais des vaches sacrées, par exemple, que l'on pourrait rassembler dans un pré, et l'on mettrait 4 prêtres aux 4 coins. Celui qui réussirait à attirer le plus de vaches remporterait l'épreuve.

Il y aurait des épreuves de guérison, de marche sur l'eau, de multiplication des pains (les pains produits seraient offerts aux restos du cœur), de changement de l'eau en vin (sous le contrôle d'œnologues diplômés), et l'épreuve-reine serait naturellement la résurrection (sous contrôle médical).

Pour ne pas désavantager les religions orientales, on pourrait ajouter la marche sur les braises, des épreuves de langues (de feu), de la lévitation, et la liste n'est pas limitative.

De ce merveilleux concours, sortirait enfin la vérité sur les religions et on saurait enfin quelle est la meilleure, oups ! quelle est la bonne, la seule, la vraie…
Avouez que ce serait vraiment dommage de se tromper de religion toute sa vie, surtout si l'on n'a qu'une seule vie !

Retour vers le bon vieux temps

Des événements newyorkais récents ont permis à la classe politique progressiste (sic) de laisser filtrer un attendrissement égrillard pour le droit de cuissage et autres joyeusetés sexuelles en usage dans l'ancien temps.

C'est grâce à ces anciennes pratiques que j'ai eu la chance de n'avoir aucun grand-père… Des deux côtés, les valeureux mâles s'étaient ravisés et un vagin de classe inférieure ne valait pas des épousailles ! Que diable !

L'autre jour, sur France-Culture, cette station de radio nationale merveilleuse (qui diffuse des programmes religieux tous les dimanches matin), j'ai entendu le Chant des Canuts. Ça commence ainsi :
Pour chanter "Veni Creator"
Il faut avoir chasuble d'or.
Il faut avoir chasuble d'or.

Nous en tissons
Pour vous, gens de l'église,
Mais nous pauvres canuts,
N'avons point de chemises.

Nous sommes les Canuts
Nous allons tout nus.

C'était le bon vieux temps des années 1830.

Aujourd'hui, il faut aller au Bengladesh pour trouver pareilles conditions d'existence, mais grâce à nos formidables chefs d'entreprise, c'est toujours actuel ! Pensez… Dix-sept euros par mois pour les ouvrières qui risquent leur vie dans des manufactures qui menacent ruine ! Il faut le faire… mais, grâce à elles, au pays des Droits de l'Homme, on achète des vêtements pas cher.

Les dirigeants des entreprises du CAC 40 ont vu leurs rémunérations augmenter de 40 % cette année. C'est grande merveille que de tels gains puissent culminer indéfiniment, dans des régimes politiques gouvernés par le peuple (démo-cratie…).
Heureusement, on trouve toujours davantage à dépenser et quand l'industrie du luxe ne vous satisfait plus, vous pouvez vous offrir du tourisme spatial !

Inutile de regretter le bon temps des rois, puisque la démocratie n'est même pas une gêne.

Il suffit de faire voter le peuple pour celui que l'on désire faire élire, et la manipulation de l'opinion, c'est une science… aussi belle que l'économie !

mardi 17 mai 2011

DSK libre !

J'ai confiance en l'injustice américaine.

Le pays développé le plus inégalitaire de la planète peut-il vraiment condamner un homme aussi important que DSK pour… un moment d'égarement, alors que son rôle, sa position, ses amitiés, sa personnalité lui avaient jusque là évité de ce genre de désagréments ?
Imagine-t-on le Roi Soleil embastillé pour avoir culbuté une servante ?

Vous allez me dire : maintenant, nous sommes en démocratie. La royauté n'est plus qu'un souvenir, en France au moins. Certes, le mode de désignation des dirigeants n'est plus le même, et il n'y a plus de famines (en France ; le reste, peu importe).
Un homme dont les mérites et l'utilité pour l'humanité sont unanimement reconnus, appréciés, et récompensés, peut-il nous être enlevé, nous priver de ses précieux services, sans que la collectivité humaine en souffre ?

Et cette souffrance, à nous priver d'un si haut personnage, n'est-elle pas plus grande que celle qu'il "aurait" infligé par son "prétendu comportement" ?

Le rôle du FMI, du PS, de la France dans le monde ne doivent-ils pas passer avant les intérêts privés personnels d'une personne qui aurait souffert (peut-être ?) ?

L'argent ne peut-il vraiment pas compenser cette souffrance infligée sans que l'on soit obligé d'emprisonner DSK comme un vulgaire quidam ?
La Justice peut-elle être aussi aveugle à la personnalité d'un accusé, à son utilité sociale ? Si l'argent ne suffit pas à convaincre de l'importance humaine d'une personne, ou à compenser ses erreurs, à quoi sert-il donc ?
L'importance de son rôle mondial personnel n'a-t-il pas pu aveugler DSK au point de lui faire oublier que l'on pouvait ne pas partager sa vision du monde, et ses besoins de se décontracter, entre deux réunions d'importance mondiale ?
Il a eu tort de penser qu'une soubrette pouvait être en harmonie avec les besoins d'un décideur financier de cette envergure.
Pourvu que son rôle à la tête du FMI lui soit compté comme une circonstance atténuante…
Dans quel monde vivons-nous ? On nous laisse accumuler des fortunes en toute liberté, et pour un simple faux pas bassement sexuel, on nous retire tout ce qui faisait notre supériorité humaine ?
Qu'attend-on pour nous protéger de ce faux sentiment de sécurité et de grandeur que donne l'argent, en instituant un revenu maximum ?
Certes, à l'heure où des centaines de milliers d'Américains vivent sous des tentes, après avoir été chassés de leur maison par une méchante tornade financière, c'est une belle occasion de montrer aux électeurs qu'en Amérique, on ne badine pas avec l'honneur d'une Américaine, même femme de chambre !

Cette leçon vaut bien un fromage… médiatique.

lundi 9 mai 2011

Salir est un devoir civique !

Naïvement, jusqu'à présent, vous étiez capable de perdre votre temps pour aller chercher une poubelle, quand vous avez un papier gras, et vous pensiez que vous aviez raison… Eh bien, vous avez tout faux !
Pensez à tous ces emplois supprimés, sur le long terme, si la France s'alignait sur la Suisse pour la propreté !

Croyez-vous que l'on continuerait à payer une armée de balayeurs, si le volume annuel de déchets venait à diminuer ? Non ! On dégraisserait au plus vite et croyez-vous que les balayeurs remerciés retrouveraient aisément un travail ? Dans les nouvelles technologies, peut-être ?
Au contraire, si chacun y met du sien, nous pouvons augmenter le nombre de mégots, de papiers, de canettes, qui jonchent le sol de nos villes (à la campagne, c'est sale, mais tout le monde s'en fiche…). L'état trouvera toujours les moyens de financer le recrutement de nouveaux employés chargés de la voierie. Et ce sont précisément des emplois qui s'offrent à des personnes qui sont le plus durement touchées par la crise…

Salir, c'est un geste simple, généreux, qu'il faut accomplir dans la discrétion, comme on donne une pièce, et c'est un peu la même chose… Puisqu'il s'agit de rendre à des hommes la dignité que la société ne leur a pas donné.

Les balayeurs, ce n'est pas comme les professeurs. Si c'est sale, tout le monde le voit, alors que si les apprenants ne savent pas jongler avec les déterminants, on change les programmes et le tour est joué !

On peut donc opérer des coupes sombres beaucoup plus facilement dans l'Education que dans la voierie, et si la première n'est plus à la hauteur de sa tâche, la seconde créera des emplois pour corriger les défauts du système.
Si cet acte généreux ne vous suffit pas, vous pouvez aussi améliorer les conditions de vie des éboueurs en allant les agacer (dans leur intérêt…) et en leur jouant des tours (attachez les poubelles…), de manière à les irriter et à les motiver pour aiguiser leurs revendications et provoquer une bonne grêve des éboueurs !

Ainsi, vous permettrez à des militaires de se rendre utiles, au lieu de tuer des pauvres types à qui on a donné des armes… Et ce sentiment d'utilité, c'est à vous qu'ils le devront !
Notre société, il appartient à chacun de faire un petit effort pour l'améliorer !
Un abribus éclaté, c'est du travail pour les vitriers ! Une voiture rayée, c'est bon pour les carrossiers !
Et ne vous inquiétez pas ! Malgré tous vos efforts, il restera toujours des pauvres gens qui ne trouvent pas de travail, et qui choisiront de faire voleurs ! Heureusement !

Le commerce des serrures, des portes blindées, des alarmes, des sociétés de surveillance, la police, la justice et l'administration pénitentiaire dépendent des voleurs et de leur activité, qui ne doit pas se relâcher…

On est vraiment dans le meilleur des mondes, mais c'est parce que chacun, à son niveau, y contribue en apportant sa pierre pour l'améliorer encore…